Stakkholtsgjá :
Superbe ballade, j'y ai ressenti l'impression d'être à la naissance du monde.
C'est moussu, humide, ça ruisselle de partout.
Les roches noires s'opposent avec le vert des mousses accrochées.
La rivière qu'il faut traverser un nombre incalculable de fois, au gré des méandres et du rétrécissement de la gorge, en sautant d'un caillou à l'autre.
On se mouille un peu les pieds, si on perd l'équilibre, mais peu importe.
Au fond de la gorge, Eyjafjallajokull et ses pentes enneigées.
Sur l'autre branche de la gorge, la cascade "secrète" dans son écrin rocheux.
Une merveille.
PS : je ne suis pas un marcheur émérite. Pas de dénivelé. Quand je l'ai fait la rivière était assez basse pour être franchie sans difficultés (bâtons de marche utiles pour éviter de perdre l'équilibre en passant d'un caillou à l'autre).